The Vampire Diaries

Suite à Gossip Girl, et oui, encore une série pour midinettes... Je préfère dire pour adolescentes, lycéennes, pour me justifier =D

Effectivement, le fait que je n'échape pas aux tendances combiné avec l'abandon de Gossip Girl et une drôle d'envie de vampire, m'ont amené jusqu'à Elena et aux frères Salvatore ( True Blood ne me tentait pas trop trop - pas tellement envie d'accumulation de scènes très directes niveau sang et cul - mais peut être plus tard ! ;) ) Et c'est parti pour une autre Histoire ! 

Contrairement à tout ce que j’en avais entendu, cette série n’a rien en commun avec Twilight, hormis l’histoire de base d’une jeune humaine, Elena, amoureuse d’un vampire rencontré au lycée.
Bon, oui, celui-ci « revient » (« pourquoi es-tu revenu après tout ce temps… » et autre premières répliques malheureusement inévitables), mais la ressemblance s’arrête ici, dès l’épisode initial.
Certes Stefan est revenu, mais cela a-t-il un rapport avec le dramatique accident mortel des parents d’Elena ? Et pour quelle raison son frère Damon s’est-il invité à la partie (et oui deux beaux vampires ténébreux pour le prix d’un, un point pour VD ! ).

Attention, je trouve important de préciser que ce dernier, Damon, joué par le sublime (non ce n’est pas une hyperbole) Ian Somerhalder, est passionnément irrésistible et représente aussi l’un des grands intérêts de la série !

Autres questions que nous amènent à la bouche les épisodes : qui est cette Katherine que les deux frères ne paraissent pas pouvoir oublier ? On apprend rapidement qu’elle semble être le parfait sosie d’Elena. Ou plutôt, Elena serait le sosie de Katherine. Car en réalité, sans Katherine, pas d’histoire ! Tous les renversements ou presque y sont liés. Celle-ci nous permet aussi les savoureux Flash-Back en 1864 ! Et il ne faut pas oublier non plus les sorcières qui se rajoutent malgré elles à la danse, ainsi que les petites histoires de lycée nécessaires à toutes bonnes séries américaines, et qui ne sont quelques fois pas vraiment si désagréables ;) !

Le jeu des acteurs rend aussi très bien compte de l’histoire, chacun remplissant parfaitement son rôle. Les deux vampires savent capter le désir, la compassion et l’aversion. Mais surtout, Nina Dobrev, réussit, à mon goût, à incarner remarquablement les différences radicales séparant ses deux personnages Elena – Katherine, si bien que, contrairement à la plupart des personnages, il nous est possible d'éviter d'être berné par les interventions sournoises de ... je n'en dis pas plus !

Pour l'instant, pas trop de gros défaut, mis à part que le fameux diairies disparaît bien vite... Et attention Mesdames et Messieurs les courageux et (peu) imaginatifs scénaristes de séries, tout comme dans GG, les événements commencent à devenir illogiques et un peu décevants, bien que je ne me sois arrêtée qu'à la moitié de la seconde saison !